


























Cécile Bart a imaginé un voyageur, arrivé depuis peu à l’hôtel Windsor, se reposant, allongé sur son lit. Il ferme les yeux, puis les rouvre et rêve éveillé. Un grand écran flotte au-dessus de sa tête, il le fixe et, dans sa rêverie, voit s’animer des carrés de couleur. Ceux-ci s’entrecroisent, se superposent, migrent d’un bord à l’autre de la surface. Leurs déplacements, imaginaires, reconstituent les mouvements de l’artiste quand, sur sa table de travail, elle a déplacé de petits échantillons, puis les a collés, en élaborant de la sorte le projet même de ce plafond, celui de « sa » chambre à l’hôtel Windsor. Les bleus, les roses, le rouge, l’orange, le jaune-vert, le violet et le noir se répondent en un concert très méditerranéen. Un peu de la lumière du sud pénètre dans la chambre. La disposition des carrés doit tout au hasard du collage, un peu comme les voyages sont propices au hasard des rencontres…
Les échantillons de couleur marouflés au plafond ont été peints sur du tissu Tergal « Plein Jour » qui a été essuyé pour en déboucher la trame et en conserver la transparence. Le tissu traité de la sorte possède une luminosité et une intensité colorée qu’une simple teinture ne saurait atteindre. Cécile Bart a mis au point ce procédé en 1987. Elle l’applique depuis dans des œuvres le plus souvent tendues sur châssis et placées dans l’espace.

Cécile Bart a imaginé un voyageur, arrivé depuis peu à l’hôtel Windsor, se reposant, allongé sur son lit. Il ferme les yeux, puis les rouvre et rêve éveillé. Un grand écran flotte au-dessus de sa tête, il le fixe et, dans sa rêverie, voit s’animer des carrés de couleur. Ceux-ci s’entrecroisent, se superposent, migrent d’un bord à l’autre de la surface. Leurs déplacements, imaginaires, reconstituent les mouvements de l’artiste quand, sur sa table de travail, elle a déplacé de petits échantillons, puis les a collés, en élaborant de la sorte le projet même de ce plafond, celui de « sa » chambre à l’hôtel Windsor. Les bleus, les roses, le rouge, l’orange, le jaune-vert, le violet et le noir se répondent en un concert très méditerranéen. Un peu de la lumière du sud pénètre dans la chambre. La disposition des carrés doit tout au hasard du collage, un peu comme les voyages sont propices au hasard des rencontres…
Les échantillons de couleur marouflés au plafond ont été peints sur du tissu Tergal « Plein Jour » qui a été essuyé pour en déboucher la trame et en conserver la transparence. Le tissu traité de la sorte possède une luminosité et une intensité colorée qu’une simple teinture ne saurait atteindre. Cécile Bart a mis au point ce procédé en 1987. Elle l’applique depuis dans des œuvres le plus souvent tendues sur châssis et placées dans l’espace.



FROM WOOD TO STONE
FROM WHITE TO RED
FROM SEA TO SEA
( BEING WITHING THE CONTEXT OF A MOVEMENT)
Ces trois oeuvres de Lawrence Weiner constituent un parfait exemple de ce que peut proposer l’art Conceptuel.
En effet le langage écrit est pour cet artiste un matériau à l’égal de la peinture ou de la pierre utilisées par les peintres et les sculpteurs traditionnels ;
Ses oeuvres sous forme d’idées n’offrent pas de limites à la vision qu’ en a le spectateur puisque c’est par l’imagination elles vont se concrétiser dans l’esprit de celui qui les appréhende.
Autrement dit si cet artiste avait vécu du temps des Impressionnistes, il n’aurait pas peint ‘’Impression, soleil levant’’, il aurait simplement écrit cette phrase sur un mur pour nous permettre de l’imaginer avec nos propres sentiments.
A partir de ses ‘’statements‘’ Lawrence Weiner a défini trois possibilités d’exposition :
1 ) le texte est écrit directement sur le mur (c’est le cas ici),
2 ) une pièce matérielle est réalisée par l’artiste à partir de la proposition,
3 ) une pièce matérielle est réalisée par un tiers (le
Collectionneur par exemple).
L’ oeuvre d’ art sert donc de catalyseur à une réflexion qui fait participer le spectateur ou le collectionneur à l’élaboration de l’oeuvre elle-même (des initiatives sont ainsi possibles puisque nous ne sommes pas en présence d’un objet fini) et c’ est cette volonté de ne pas laisser dans une attitude passive qui rend la démarche de cet artiste particulièrement intéressante.
collection : Ghislain Mollet – Viéville

FROM WOOD TO STONE
FROM WHITE TO RED
FROM SEA TO SEA
( BEING WITHING THE CONTEXT OF A MOVEMENT)
Ces trois oeuvres de Lawrence Weiner constituent un parfait exemple de ce que peut proposer l’art Conceptuel.
En effet le langage écrit est pour cet artiste un matériau à l’égal de la peinture ou de la pierre utilisées par les peintres et les sculpteurs traditionnels ;
Ses oeuvres sous forme d’idées n’offrent pas de limites à la vision qu’ en a le spectateur puisque c’est par l’imagination elles vont se concrétiser dans l’esprit de celui qui les appréhende.
Autrement dit si cet artiste avait vécu du temps des Impressionnistes, il n’aurait pas peint ‘’Impression, soleil levant’’, il aurait simplement écrit cette phrase sur un mur pour nous permettre de l’imaginer avec nos propres sentiments.
A partir de ses ‘’statements‘’ Lawrence Weiner a défini trois possibilités d’exposition :
1 ) le texte est écrit directement sur le mur (c’est le cas ici),
2 ) une pièce matérielle est réalisée par l’artiste à partir de la proposition,
3 ) une pièce matérielle est réalisée par un tiers (le
Collectionneur par exemple).
L’ oeuvre d’ art sert donc de catalyseur à une réflexion qui fait participer le spectateur ou le collectionneur à l’élaboration de l’oeuvre elle-même (des initiatives sont ainsi possibles puisque nous ne sommes pas en présence d’un objet fini) et c’ est cette volonté de ne pas laisser dans une attitude passive qui rend la démarche de cet artiste particulièrement intéressante.
collection : Ghislain Mollet – Viéville

FROM WOOD TO STONE
FROM WHITE TO RED
FROM SEA TO SEA
( BEING WITHING THE CONTEXT OF A MOVEMENT)
Ces trois oeuvres de Lawrence Weiner constituent un parfait exemple de ce que peut proposer l’art Conceptuel.
En effet le langage écrit est pour cet artiste un matériau à l’égal de la peinture ou de la pierre utilisées par les peintres et les sculpteurs traditionnels ;
Ses oeuvres sous forme d’idées n’offrent pas de limites à la vision qu’ en a le spectateur puisque c’est par l’imagination elles vont se concrétiser dans l’esprit de celui qui les appréhende.
Autrement dit si cet artiste avait vécu du temps des Impressionnistes, il n’aurait pas peint ‘’Impression, soleil levant’’, il aurait simplement écrit cette phrase sur un mur pour nous permettre de l’imaginer avec nos propres sentiments.
A partir de ses ‘’statements‘’ Lawrence Weiner a défini trois possibilités d’exposition :
1 ) le texte est écrit directement sur le mur (c’est le cas ici),
2 ) une pièce matérielle est réalisée par l’artiste à partir de la proposition,
3 ) une pièce matérielle est réalisée par un tiers (le
Collectionneur par exemple).
L’ oeuvre d’ art sert donc de catalyseur à une réflexion qui fait participer le spectateur ou le collectionneur à l’élaboration de l’oeuvre elle-même (des initiatives sont ainsi possibles puisque nous ne sommes pas en présence d’un objet fini) et c’ est cette volonté de ne pas laisser dans une attitude passive qui rend la démarche de cet artiste particulièrement intéressante.
collection : Ghislain Mollet – Viéville

Dans l’ombre fraîche de la chambre
les couleurs lignant l’horizon.
Sécance d’une fenêtre sur la réalité et l’imaginaire.

Quelque part sur la côte d’azur. Janvier 1996.
Philippe Perrin est né en 1964 à La Tronche. On se demande s’il aurait pu naître ailleurs. Un peu boxeur, mauvais écrivain, voyou, aventurier, alcoolique et mégalomane, on le croise au comptoir du bar d’une Biennale à Venise, dans des hauts lieux de rencontres sportives, ou devant une boîte de nuit de Hong Kong dans la lumière de l’aube. Il exposerait aussi des traces de « ses passages » dans les lieux dits « de l’art ». Hier encore, allongé sur un transat qui surplombait la mer il me confiait :
Nous vivons une période oû nombreux sont ceux qui pleurent la disparition des héros et des stars. Les boxeurs sont les derniers guerriers. Les truands, des héros. Les menteurs, des poètes. Les artistes, des vagabonds. Les assassins, des aventuriers. Je suis tout a la fois. La grande classe quoi… Puis il se glissa dans l’ombre du salon en marmonnant : Aujourd’hui il fera encore horriblement beau… ll pris une bière dans le réfrigérateur sans me demander si j’en voulais une, avant de s’affaler sur le canapé de velours rouge. Il glissa une cassette dans le lecteur. Quand le son se fit entendre, je reconnus immédiatement sa voix.
C’était une vieille chanson italienne qu’il interprétait lui-même. Scugnizzo…
Il alluma une cigarette puis me regarda dans les yeux. Une exposition c’est une femme à séduire. Une femme à séduire c’est une banque à braquer….Musique. Maintenant il faut partir….
Robert Miradique

Quelque part sur la côte d’azur. Janvier 1996.
Philippe Perrin est né en 1964 à La Tronche. On se demande s’il aurait pu naître ailleurs. Un peu boxeur, mauvais écrivain, voyou, aventurier, alcoolique et mégalomane, on le croise au comptoir du bar d’une Biennale à Venise, dans des hauts lieux de rencontres sportives, ou devant une boîte de nuit de Hong Kong dans la lumière de l’aube. Il exposerait aussi des traces de « ses passages » dans les lieux dits « de l’art ». Hier encore, allongé sur un transat qui surplombait la mer il me confiait :
Nous vivons une période oû nombreux sont ceux qui pleurent la disparition des héros et des stars. Les boxeurs sont les derniers guerriers. Les truands, des héros. Les menteurs, des poètes. Les artistes, des vagabonds. Les assassins, des aventuriers. Je suis tout a la fois. La grande classe quoi… Puis il se glissa dans l’ombre du salon en marmonnant : Aujourd’hui il fera encore horriblement beau… ll pris une bière dans le réfrigérateur sans me demander si j’en voulais une, avant de s’affaler sur le canapé de velours rouge. Il glissa une cassette dans le lecteur. Quand le son se fit entendre, je reconnus immédiatement sa voix.
C’était une vieille chanson italienne qu’il interprétait lui-même. Scugnizzo…
Il alluma une cigarette puis me regarda dans les yeux. Une exposition c’est une femme à séduire. Une femme à séduire c’est une banque à braquer….Musique. Maintenant il faut partir….
Robert Miradique

Caro Bernard
Lei mi chiede una nota per la camera d’oro che insieme abbiamo pensato per l’Hôtel Windsor.
Dico insime perché fu lei a ricordarmi un altro luogo, un’altra mia opera, realizzata dentro un ambiente dalle pareti d’oro.
E’ appunto da quel ricordo che viene la Camera d’oro di Nizza.
Un cubo d’oro, una lampada, un letto.
Un cubo puro, una forma e una materia astratte;
L’indispensabile per sognare.
L’oro, da secoli, é la materia che ha fatto sognare gli alchimisti.
Sognare l’oro come materia allegorica dello spirito.
Quintessenza e aspirazione suprema.
Ed é dentro questa quintessenza, dentro questa materia spirituale l’invito al sogno.
Claudio Parmigiani

Caro Bernard
Lei mi chiede una nota per la camera d’oro che insieme abbiamo pensato per l’Hôtel Windsor.
Dico insime perché fu lei a ricordarmi un altro luogo, un’altra mia opera, realizzata dentro un ambiente dalle pareti d’oro.
E’ appunto da quel ricordo che viene la Camera d’oro di Nizza.
Un cubo d’oro, una lampada, un letto.
Un cubo puro, una forma e una materia astratte;
L’indispensabile per sognare.
L’oro, da secoli, é la materia che ha fatto sognare gli alchimisti.
Sognare l’oro come materia allegorica dello spirito.
Quintessenza e aspirazione suprema.
Ed é dentro questa quintessenza, dentro questa materia spirituale l’invito al sogno.
Claudio Parmigiani

Caro Bernard
Lei mi chiede una nota per la camera d’oro che insieme abbiamo pensato per l’Hôtel Windsor.
Dico insime perché fu lei a ricordarmi un altro luogo, un’altra mia opera, realizzata dentro un ambiente dalle pareti d’oro.
E’ appunto da quel ricordo che viene la Camera d’oro di Nizza.
Un cubo d’oro, una lampada, un letto.
Un cubo puro, una forma e una materia astratte;
L’indispensabile per sognare.
L’oro, da secoli, é la materia che ha fatto sognare gli alchimisti.
Sognare l’oro come materia allegorica dello spirito.
Quintessenza e aspirazione suprema.
Ed é dentro questa quintessenza, dentro questa materia spirituale l’invito al sogno.
Claudio Parmigiani

Ce qui était intéressant avec cette chambre de l’hôtel Windsor c’était, bien sûr la possibilité de réaliser un travail “in situ” comme on dit. C’est à dire, en ce qui me concerne, de travailler cette dialectique entre une peinture et l’endroit où elle est montrée.
En l’occurrence cette toile est montrée là ou elle a été peinte. Quelque chose entre Matisse qui peint à l’hôtel et Brancusi qui montre son atelier. Cette chambre est aussi une installation, puisqu’on a du penser aux meubles et a la salle de bain. C’est aussi quelque chose “in progress” puisqu’on va continuer à y travailler.
La sérigraphie, qui évidemment n’est pas de moi (les fleurs), est tamponnée sur son revers “sign your own name”. C’est ce qui m’a semblé me donner le droit de la placer là. Elle joue aussi la pièce de la salle de bain, comme cette chambre, je l’éspère, dialogue avec les autres chambres de l’hôtel.
J’ai été désolé qu’on a dû recouvrir la fresque d’Antoine Beaudoin pour faire quelque chose de, je suppose, plus “moderne”. Mais c’est aussi la règle du jeux et un jour, un artiste plus jeune viendra peut-être encore pour transformer cette affaire. Je lui souhaite bonne chance.
Entre temps, j’espère que cette chambre sera une “chambre d’amis”.
Olivier Mosset

Qui saura dire qui est aujourd’hui Raymond Hains, « I’Hains saisissable, I’Hains stable, I’ Hains supportable, I’ Hains satisfait », tel que l’appelait son ami Pierre Restany, « Raymond I’abstrait » tel que le surnomma Guy Debord, ou encore « I’ asticoteur de la critique» ainsi qu’il se baptisa lui-même au début des années soixante? Il faudra bien pourtant qu’on rende un jour à Cesar ce qui est à César et à Hains ce qui lui revient, à savoir, entre autre, cette incroyable faculté de mémorisation et interconnexion des mots et des objets qui, partout, les accompagnent.
Depuis ses tout premiers exercices photographiques (rayogrammes et photogrammes) dans l’atelier d’Emmanuel Sougez en 1946 jusq’au photoconstats exposés à la Fondation Cartier en 1986, Rond Hains n’a cessé d’utiliser la photographie. À travers elle, il a contribué à faire tomber les cloisons qui, aujourd’hui encore, séparent parfois photographes et plasticiens. De la même façon que l’appropriation dans les années quarante et cinquante des affiches déchirées, des tôles ou des palissades, l’utilisation de la photographie est par ailleurs pour lui le moyen de mettre simplement en question les catégories traditionnelles de l’atelier, du sujet et de l’auteur.
– Guy Tortosa

Qui saura dire qui est aujourd’hui Raymond Hains, « I’Hains saisissable, I’Hains stable, I’ Hains supportable, I’ Hains satisfait », tel que l’appelait son ami Pierre Restany, « Raymond I’abstrait » tel que le surnomma Guy Debord, ou encore « I’ asticoteur de la critique» ainsi qu’il se baptisa lui-même au début des années soixante? Il faudra bien pourtant qu’on rende un jour à Cesar ce qui est à César et à Hains ce qui lui revient, à savoir, entre autre, cette incroyable faculté de mémorisation et interconnexion des mots et des objets qui, partout, les accompagnent.
Depuis ses tout premiers exercices photographiques (rayogrammes et photogrammes) dans l’atelier d’Emmanuel Sougez en 1946 jusq’au photoconstats exposés à la Fondation Cartier en 1986, Rond Hains n’a cessé d’utiliser la photographie. À travers elle, il a contribué à faire tomber les cloisons qui, aujourd’hui encore, séparent parfois photographes et plasticiens. De la même façon que l’appropriation dans les années quarante et cinquante des affiches déchirées, des tôles ou des palissades, l’utilisation de la photographie est par ailleurs pour lui le moyen de mettre simplement en question les catégories traditionnelles de l’atelier, du sujet et de l’auteur.
– Guy Tortosa

L’ŒUVRE EST DANS LE PLACARD
Dans un placard à double fond, derrière une vitre, des vestes suspendues, doublures décousues qui pendent : UNTITLED 1992.
Il faut ouvrir les portes pour accéder à l’œuvre.
LE PLACARD EST DANS L’ŒUVRE
C’est l’ensemble de la chambre qui devient une œuvre en reprenant les couleurs de UNTITLED 1992 : murs, plafond, sol, mais aussi rideaux, jeté de lit, etc, sont aux couleurs des vestes et de leurs doublures.
UNTITLED 1992
1992, présentation dans l’exposition HEALING Wooster Gardens Gallery, New York et Rena Bransten Gallery, San Francisco, U.S.A.
1993, présentation dans l’exposition L’ENFANT DU PLACARD Centre d’Art Contemporain, Brétigny-sur-Orge, France.
2005, installation dans le placard de la chambre de l’Hôtel WindsoR, Nice.

L’ŒUVRE EST DANS LE PLACARD
Dans un placard à double fond, derrière une vitre, des vestes suspendues, doublures décousues qui pendent : UNTITLED 1992.
Il faut ouvrir les portes pour accéder à l’œuvre.
LE PLACARD EST DANS L’ŒUVRE
C’est l’ensemble de la chambre qui devient une œuvre en reprenant les couleurs de UNTITLED 1992 : murs, plafond, sol, mais aussi rideaux, jeté de lit, etc, sont aux couleurs des vestes et de leurs doublures.
UNTITLED 1992
1992, présentation dans l’exposition HEALING Wooster Gardens Gallery, New York et Rena Bransten Gallery, San Francisco, U.S.A.
1993, présentation dans l’exposition L’ENFANT DU PLACARD Centre d’Art Contemporain, Brétigny-sur-Orge, France.
2005, installation dans le placard de la chambre de l’Hôtel WindsoR, Nice.

L’ŒUVRE EST DANS LE PLACARD
Dans un placard à double fond, derrière une vitre, des vestes suspendues, doublures décousues qui pendent : UNTITLED 1992.
Il faut ouvrir les portes pour accéder à l’œuvre.
LE PLACARD EST DANS L’ŒUVRE
C’est l’ensemble de la chambre qui devient une œuvre en reprenant les couleurs de UNTITLED 1992 : murs, plafond, sol, mais aussi rideaux, jeté de lit, etc, sont aux couleurs des vestes et de leurs doublures.
UNTITLED 1992
1992, présentation dans l’exposition HEALING Wooster Gardens Gallery, New York et Rena Bransten Gallery, San Francisco, U.S.A.
1993, présentation dans l’exposition L’ENFANT DU PLACARD Centre d’Art Contemporain, Brétigny-sur-Orge, France.
2005, installation dans le placard de la chambre de l’Hôtel WindsoR, Nice.

La chambre comme une île
Dans un lieu construit
Référence à Robinson Crusoe
Découverte du lieu planté
Image de citrons dans l’arbre
En haut du lieu du sommeil
Le corps enter l’image de la couleur
Jaune citron du mur et le mur
A l’exterieur, hors de la chambre
les citrons dans l’arbre
Jean-Pierre Bertrand

La chambre comme une île
Dans un lieu construit
Référence à Robinson Crusoe
Découverte du lieu planté
Image de citrons dans l’arbre
En haut du lieu du sommeil
Le corps enter l’image de la couleur
Jaune citron du mur et le mur
A l’exterieur, hors de la chambre
les citrons dans l’arbre
Jean-Pierre Bertrand

The words are yellow to reflect the sun in Nice.
The yellow and white are sensitive to the changing
light throughout the days and seasons.
Words come from us.
They address themselves to us.
These words are not part of
or defined by any text.
They are presented in all their possible meanings.
The meanings are personal and determined by those
who visit the room.
The meanings and the colors change as the light and
the time and guests come and go.
Robert Barry Nov.96

PEINTURE PUZZLE
Ces peintures ont toutes comme point de départ une surface qui couvrirait une grande partie de l’un des murs de réalisation. Ce support de départ (ici du bois) est découpé en X parties (ici 24) irrégulières sur le modèle des puzzles représentant le plus souvent des paysages, des animaux ou des tableaux célèbres. Plusieurs modalités d’accrochage sont possibles. Les éléments répartis alternativement sur deux murs face à face formant chacun un jeu en positif/ négatif. Une série d’éléments sur un mur indiquant les limites et les formes générales de la pièce, les autres parties sont alors dispersées dans l’ensemble de l’espace.
Comme pour toutes les définitions / méthode conçue depuis 1973.
Les parties sont peintes de la même couleur que le mur sur lequel elles sont accrochées. Si le mur est brut, le support le sera également.
En cas de déplacement, cette peinture pourra prendre une forme tout à fait différente. Autres dimensions, autre découpe, autre couleur, autre accrochage, autre support.
Rien n’est fixe d’un lieu à l’autre, même si tout est décidé à l’avance.
Une peinture qui ne subit pas les avatars du temps.
Un coup de peinture, un coup de jeunesse. Une peinture à durée limitée et cela pour toujours.
Claude Rutault

PEINTURE PUZZLE
Ces peintures ont toutes comme point de départ une surface qui couvrirait une grande partie de l’un des murs de réalisation. Ce support de départ (ici du bois) est découpé en X parties (ici 24) irrégulières sur le modèle des puzzles représentant le plus souvent des paysages, des animaux ou des tableaux célèbres. Plusieurs modalités d’accrochage sont possibles. Les éléments répartis alternativement sur deux murs face à face formant chacun un jeu en positif/ négatif. Une série d’éléments sur un mur indiquant les limites et les formes générales de la pièce, les autres parties sont alors dispersées dans l’ensemble de l’espace.
Comme pour toutes les définitions / méthode conçue depuis 1973.
Les parties sont peintes de la même couleur que le mur sur lequel elles sont accrochées. Si le mur est brut, le support le sera également.
En cas de déplacement, cette peinture pourra prendre une forme tout à fait différente. Autres dimensions, autre découpe, autre couleur, autre accrochage, autre support.
Rien n’est fixe d’un lieu à l’autre, même si tout est décidé à l’avance.
Une peinture qui ne subit pas les avatars du temps.
Un coup de peinture, un coup de jeunesse. Une peinture à durée limitée et cela pour toujours.
Claude Rutault

PEINTURE PUZZLE
Ces peintures ont toutes comme point de départ une surface qui couvrirait une grande partie de l’un des murs de réalisation. Ce support de départ (ici du bois) est découpé en X parties (ici 24) irrégulières sur le modèle des puzzles représentant le plus souvent des paysages, des animaux ou des tableaux célèbres. Plusieurs modalités d’accrochage sont possibles. Les éléments répartis alternativement sur deux murs face à face formant chacun un jeu en positif/ négatif. Une série d’éléments sur un mur indiquant les limites et les formes générales de la pièce, les autres parties sont alors dispersées dans l’ensemble de l’espace.
Comme pour toutes les définitions / méthode conçue depuis 1973.
Les parties sont peintes de la même couleur que le mur sur lequel elles sont accrochées. Si le mur est brut, le support le sera également.
En cas de déplacement, cette peinture pourra prendre une forme tout à fait différente. Autres dimensions, autre découpe, autre couleur, autre accrochage, autre support.
Rien n’est fixe d’un lieu à l’autre, même si tout est décidé à l’avance.
Une peinture qui ne subit pas les avatars du temps.
Un coup de peinture, un coup de jeunesse. Une peinture à durée limitée et cela pour toujours.
Claude Rutault

PEINTURE PUZZLE
Ces peintures ont toutes comme point de départ une surface qui couvrirait une grande partie de l’un des murs de réalisation. Ce support de départ (ici du bois) est découpé en X parties (ici 24) irrégulières sur le modèle des puzzles représentant le plus souvent des paysages, des animaux ou des tableaux célèbres. Plusieurs modalités d’accrochage sont possibles. Les éléments répartis alternativement sur deux murs face à face formant chacun un jeu en positif/ négatif. Une série d’éléments sur un mur indiquant les limites et les formes générales de la pièce, les autres parties sont alors dispersées dans l’ensemble de l’espace.
Comme pour toutes les définitions / méthode conçue depuis 1973.
Les parties sont peintes de la même couleur que le mur sur lequel elles sont accrochées. Si le mur est brut, le support le sera également.
En cas de déplacement, cette peinture pourra prendre une forme tout à fait différente. Autres dimensions, autre découpe, autre couleur, autre accrochage, autre support.
Rien n’est fixe d’un lieu à l’autre, même si tout est décidé à l’avance.
Une peinture qui ne subit pas les avatars du temps.
Un coup de peinture, un coup de jeunesse. Une peinture à durée limitée et cela pour toujours.
Claude Rutault
Rates
Low Season
à partir de 111 - 5% = 105,45 €
Mid-season
à partir de 167 - 5% = 158,65 €
High-season
à partir de 180 - 10% = 162 €
Services
Seasons
Low Season01/11/2023 au 29/12/2023 et 02/01/2024 au 31/03/2024
Mid-season01/04/2024 - 30/04/2024 et 01/10/2024 - 31/10/2024
High-season01/05/2024 - 30/09/2024 et 29/12/2023 au 02/01/2024
Except Monaco Grand Prix23/05/2024 - 26/05/2024
Extras
Local Tax€2.95 P.P
Buffet breakfast€16 P.P
Continental breakfast served at the bar€10 P.P
Half board€42 P.P
Extra bed€30 / night
Baby cot€12 / night
Dog (no access in restaurant and garden)€12 / night