avec la participation de Guy Rottier (Oct 2011 – Oct 2012)
Puisé dans un contexte familier et tout proche de leur installation, l’ensemble des images de Check In nous invite à nous laisser prendre par le jardin de l’hôtel et à l’observer faire sa place dans le hall dans un transport intérieurement et extérieurement brouillé.
Le petit devient grand, les objets se déplacent, la lumière et les plantes parviennent à nous troubler, mais tout cela ne nous éloigne pas de l’invitation qui nous est faite. Car au-delà de la ballade, Check In nous parle autant de l’importance à être fascinée par une certaine nature, que d’une façon d’évoquer
ce qui s’y passe par-delà, à travers elle. Cette part d’invisible qui tend vers la surprise et vers la possibilité de se déplacer dans toutes dimensions à partir de ce qui nous entoure.
Les oiseaux de Guy Rottier virevoltent dans le hall avec humour.