Des reflets suspendus aux arrêtes noires d’une structure fantôme.
Un miroir doublé de jaune. Des vues imprenables sur cette architecture qui se dérobe à l’infini pour se reconstruire sans cesse aux hasards des mouvements lents que le repos suppose. Tous les plans glissent, se combinent, dévoilent la douceur des murs, entre un ciel de mimosas et les ficelles peintes (feintes) qui soutiennent les apparences. La délicatesse de l’oscillation des pans heurtée aux angles plus aigus d’une chambre d’hôtel forcément muette.